Chez moi j’ai une véranda ; j’ai un escabeau  avec des  orchidées que je récupère  quand elles sont mal en point ; je leur donne une nouvelle vie.

Elles se plaisent à la lumière, je leur donne de l’engrais une fois par semaine et je les trempe dans  une bassine.

Je fais aussi d’autres boutures avec d’autres plantes notamment de la citronnelle.

Mon histoire est traversée par une grâce : lorsque j’étais petit je croyais qu’on allait réussir sa vie lorsqu’on était dans le dictionnaire pour mots croisés. Puis quelques années plus tard j’ai cherché la trace du temps où mes pieds foulaient la poussière des chemins. Puis un jour, des rencontres m’ont permis de beaucoup cheminer sans prétendre tout savoir, tout connaître et surtout tout vivre.

Depuis, chaque matin, je me remémore les paroles des gens qui m’ont aidé dans la vie. Aujourd’hui je veux vivre même si je souffre ; cela ne se voit pas sur moi ; cette vie me permet et m’invite à vivre. La souffrance interroge ceux qui n’ont jamais souffert. Durant toutes ces années je me suis consacré à travailler dur puis un jour, dans les années 80, je me suis mis à aider les gens malheureux en travaillant dans les Restos du cœur et bien d’autres associations humanitaires.

A 56 ans, j’aime la vie, j’ai un travail dans une association, j’aime savoir, apprendre et surtout aider les gens pauvres. C’est pour cela qu’aujourd’hui, je voudrais créer un restaurant social Le Relais du Cœur, à Honfleur, car la vie aujourd’hui est un acte pur, il est toujours possible d’espérer, de croire et de reprendre le goût de vivre. Facile à dire mais pas à mettre en pratique lorsque la souffrance physique ou psychologique pèse de tout son poids et où le besoin est grand d’être regardé par des personnes. Que faire face à cette souffrance ? Offrir un repas dans un restaurant social…

Cette histoire que je raconte, c’est mon vécu personnel. Maintenant, pour moi, réussir c’est comprendre les autres, savoir que la vie est un trésor bouillonnant qui s’engouffre dans mes veines et s’endort dans mes rêves.

C’est pour ça qu’à présent, j’ai besoin de l’aide de tout bénévole pour pouvoir créer ce restaurant social à Honfleur. Actuellement je suis serein car je sais que cette aide viendra, et ce sera une vraie joie d’ouvrir Ce Relais du Cœur et de pouvoir offrir un repas à bas prix à des gens qui en ont besoin.

Pour participer à la réalisation de ce beau projet, n’hésitez pas à me contacter via ce blog.

Exemple d’une expérience de restaurant social

En 1985, j’ai eu la chance de pouvoir créer les Restos du Cœur avec Coluche à Caen. En tant que responsable, je récupérais avec mon équipe toute alimentation que les grandes surfaces des alentours pouvaient nous offrir, ainsi que des dons. Ensuite je gérais les stocks et la réalisation des repas étant cuisinier à la base ; je participais également aux distributions de repas aux personnes démunies. Cette expérience a été riche en partage et en générosité.

Je suis né dans le nord de la France, le 19 juin 1959 à BELLAING. Mon enfance s’est déroulée dans les corons aux briques rouges, car mon père était mineur de fond. Il est né à PARIS dans le 15^ème arrondissement. Il habitait dans le même immeuble que la chanteuse ÉDITH PIAF (dite la Môme). Dans sa jeunesse, il a fait de la boxe. Son dernier combat, il l’a gagné et fût CHAMPION DES FLANDRES. Ma mère était du PAS-DE CALAIS, 62, fille aussi d’un mineur. Ils ont eu 4 enfants, donc moi le dernier.

L’école ne m’inspirait pas trop, donc j’ai décidé avec l’accord de mes parents de travailler, j’avais à cette époque 14 ans. J’ai commencé dans le bâtiment comme peintre pendant 4 ans. Ensuite j’ai fait appel pour le service national à l’âge de 18 ans. Je fus intégré comme parachutiste au 1^er  R.C.P. de PAU (1^er régiment de chasseur parachutiste). J’ai fait 39 sauts dans l’année (de jour comme de nuit, même en mer). Le 6^ème mois avec ma compagnie, nous avons été volontaires pour partir au LIBAN (les Casques bleus). Ça a duré 6 mois. Puis de retour à la vie civile, j’ai été étonné de voir que la boîte où je travaillais avait déposé le bilan. Je fis alors les boîtes d’intérim et l’A.N.P.E. Ayant vu une annonce qui recrutait un mineur de fond, je me lançais dans ce métier. J’y ai travaillé pendant 10 ans, puis ce fut la fermeture définitive en 1990.

Maintenant, à l’âge de 55 ans, bientôt 56, je ne regrette rien de la vie que j’ai menée (à part le décès de mes parents et de mon frère). Et si c’était à refaire, je le referais avec plaisir.

* L’ambiance 

L’ambiance est magnifique car on peut se déguiser comme on veut tous ensemble, on rigole, on crie, on met de la musique. Ce qui est bien c’est que personne ne reste à part, tout le monde a le droit de prendre du plaisir à cette ambiance. Cette ambiance festive a lieu un soir dans la semaine.

* Détente 

Il y a plein de jardins exprès pour se détendre. On peut même faire des pique-niques, on peut aussi bronzer car en Espagne tout le monde respecte les personnes qui se reposent ou se détendent.

* La langue 

En Espagne, on parle espagnol donc quand on va en vacances là-bas il faut savoir parler espagnol sinon on ne comprend pas les personnes qui nous parlent. Et on se trouve coincé !

* Mes coups de cœurs

La plaza mayor est une très très grande place où tout le monde se rejoint pour faire du shopping car tous les magasins, bar etc… se trouvent autour de cette place. C’est magnifique, moi j’adore. Avec la classe, on n’y a été seulement deux fois car on a découvert pleins d’autres choses le temps d’une semaine.

Les arènes servent aux corridas :  C'est un jeu originaire d'Espagne, se déroulant dans des arènes et opposant, successivement, plusieurs taureaux à un matador qui doit, grâce à un travail de cape, de piques et de banderilles, amener le taureau dans les conditions permettant sa mise à mort (par l'épée), terme attendu du combat.

Les monuments de Madrid sont très très beaux ; comme les églises qui sont belles et très grandes. On y trouve des statues un peu partout. Il y a aussi des musées magnifiques et très grands où on voit des objets d’Espagne. Il y a un musée où on parle du Roi et des anciens objets. Il y a aussi la gare où on attend le train. On y trouve une mini forêt avec des animaux comme des oiseaux, des tortues. C’est vraiment magnifique. Il y a même des restaurants et des bars. On a aussi un musée qui nous parle de la corrida.

J’ai beaucoup aimé se séjour, j’aimerais énormément y retourner ; c’est vraiment magnifique en Espagne. Cette fois je voudrais aller à Barcelone qui me semble vraiment sublime avec la mer bleue, le soleil, la vue etc… 

Le reggae est un genre musical ayant débuté à la fin des années 1960, c’est la plus populaire des expressions musicales jamaïcaines. Il devient un style musical internationalement apprécié. 

Le reggae est souvent lié au mouvement rastafari.  Le reggae est une musique ayant une structure rythmique très marquée ; l’instrument principal du reggae est la guitare suivie de la batterie.

Le chanteur de reggae le plus connu est BOB MARLEY. Il rencontre un succès mondial est reste à ce jour le musicien le plus connu et le plus vénéré du reggae. 

Malheureusement pour ses fans il décédera d’un cancer le 11MAI 1981 à l’âge de 36 ans, laissant 11 enfants qui à leur tour deviendront musiciens dans le reggae.

La boxe thaïlandaise est un sport très populaire de par son efficacité. Néanmoins son image de pratique pour tous, véhiculée comme comportant des risques physiques par l’utilisation des armes dures comme les genoux et les coudes, semble faire obstacle à son développement.

La boxe thaï est une discipline et un art martial, une façon d’extérioriser une colère  et de posséder  son calme intérieur.  La boxe thaï  en combat se pratique en coup de pied poing genoux. Il est facile d’apprendre  les bases, les "combos" (les enchaînements) sont plus compliqués  (loukik, mol kik, speed batoude, kick et Fadel kick). 

Buakaw Por Pramuk 

C’est un boxeur mettant des ko en 2s8 ; c’est une bête en catégorie poids lourd champion de Thaïlande, Chine, Japon et univers. Il met fin à sa carrière de boxeur pour se consacrer à une association caritative en Thaïlande.

                                                              Okok killerd’instict

Je commence en freestyle du 14

ce blaze killerd’instict sort des rimes à l’arrachée

D’un jour  j'ai commencé à chanter à Beuvillers .ok

Maintenent je RAP sur 48 heures,

Je kiffe ma place ou mon bonheur

14 Lisieux c’est dangereux,

on baisse jamais les yeux.

killerd’instict

Il est dangeureux, le jeune rappeur

killerd’instict vient te prouver, le rap français de la NEP Lisieux okok

Écoute mon son et dis moi c’que t’en penses

Fais voir tes bon Ince que je vise la France

Quand j'y pense, démerde dans l’ignorance okok

killerd’instict okok ça ce passe comme ça gars 14 lisieux killer

Voici des phrases rédigées et mises bout à bout ... pour former des textes, drôles, mais sans queue ni tête.

En 1983 vivaient une banane et une fraise chez un mec qui s’appelait Picsous. Il est amoureux d’une fille extraordinaire. Daisy n’est pas prête à entamer une relation, pourtant il est riche et vit dans une belle maison qui était construite dans le ciel avec de très beaux nuages. Chaque soir la maison s’illuminait avec les étoiles, et la lune et la planète ne se ressemblent pas car la planète vit dans la terre. Oui la terre, elle sera envahie par les extra-terrestres qui sont montés sur un vélo électrique qui marche fort. Il faut pédaler pour monter les cotes de Pont-L’Evêque. C’est une ville et même que c’est le nom d’un fromage. Suite à votre rapport de stage, vous êtres pris pour le remplacement du professeur qui nous quitte pour se reposer en retraite.

Les cerises du jardin sont presque rouges, les merles, les petits cochons se sont fait manger par le grand méchant loup. Ensuite je prends le train pour aller à Paris pour vaincre le Roi Merlin l’enchanteur qui a tué qui veut prendre la place du roi au trône du royaume de Pantagruel. Il est intelligent, c’est un bonhomme qui vit seul dans une maison dans la campagne, loin de l’île des Cèdres, et qui habite sur 100 km loin de tout le monde. C’est le meilleur moyen avec les personnes que j’aime pas certaines personnes qui vivent avec moi en France.

A l'époque de la préhistoire vivait une femme, mais on ne sait pas son nom, elle alla rencontrer ... Quelle maladresse ! se dit-elle. Elle décida alors d'annuler tout contact avec cette personne car, très décue, elle l'avait imaginé autrement. Autrement j'aime bien les animaux du zoo, ils sont trop beaux comme un Dieu miroitant au soleil. Le soleil n'est pas là mais les nanas sont là, c'est la misère. La misère est là, on ne peut plus profiter comme avant d'être trop con pour nous faire gober tout. Tout le monde a des défauts et d'autres non. Tu as un coeur pour ne penser qu'à toi et de ne pas raconter ta vie. Jolie Madame que vous êtres, sincèrement. Un ami.